Publié le 12 Juin 2018

... Bon, je fais encore une référence que les moins de 30 ne peuvent pas connaitre... mais tant pis... 

Aujourd'hui, j'ai eu beau scruter mais pas de nouvelle date de concert annoncé... mais... mais... en y regardant bien: LE TOBOGGAN DE DECINES (69)  nous indique quelque chose de particulier sur son site à côté de l'annonce du concert le 23/11 (eux évoquent le nouvel album à sortir):

Carte Blanche Cinéma du 21 au 24 novembre :
Quels sont les films cultes du cinéphile Jean-Louis Murat ? Nous aurons le plaisir de les programmer et d’évoquer avec lui, sa grande passion du cinéma autour d’une rencontre à l’issue d’une projection de son choix.

"à quoi t'en est rendu mon fils" pour vendre des disques, comme dirait sa mère?  Tututu, c'est plutôt bien pour comme initiative.... Mais j'attends de voir si cela verra bien le jour (je me rappelle que par exemple Murat devait rencontrer le public ou des élèves à Bourgoin lors d'une résidence... ça ne s'était pas fait...). Murat avait également finalement refusé une invitation de SOFILM pour son festival de Nantes.  Si je vais voir Barbara Carlotti cette même semaine là-bas, en tout cas, je risque d' y passer la semaine... 
 

Je ne vais pas refaire le point sur sa cinéphilie. Rappelons juste : 

- avec les mots de Matthieu que "Murat a lui-même confié qu'il lui était arrivé d'écrire "des papiers dans des revues de cinéma amateur", au temps où il s'adonnait à une cinéphilie studieuse et tous terrains (de Tarkovski à Zidi)" (dans murat journaliste). Ses articles restent à découvrir!

- une petite citation dans une des rares interviews récentes:

"Ma fascination américaine, c’est Cheyenne Autumn, en référence au film le plus antiaméricain qui soit et où l’on voit l’obstination du petit homme blanc dégénéré à tuer les Indiens, en l’occurrence les Cheyennes.

C’est aussi l’automne de Tarkovski. Pour moi, John Ford et Andreï Tarkovski, c’est pareil. Il y a d’un côté le Far West extérieur, et de l’autre, le Far West intérieur. En faisant découvrir Le Miroir (1975) de Tarkovski à mes enfants, je me suis rendu compte que toute l’imagerie des clips relayés sur MTV depuis quinze ans singeait Tarkovski. J’avais déjà surpris Midlake, avec un culot insensé, s’approprier les images d’Andreï Roublev (1966) pendant leurs concerts. Autant dire que c’est terminé avec Midlake, un groupe que je vénérais pourtant. Pour finir de répondre à ta question, si Cheyenne Autumn était mon disque anniversaire de 1789, Travaux sur la N89 célèbre l’anniversaire de 1917".(inrocks à lire là)

- et bien sûr dès 83, que Murat était un héros de cinéma...

Et allons au cinéma, même si c'est pour en sortir en chialant :

 

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #cinéma

Repost0

Publié le 12 Juin 2018

 

A quoi je sers? où vais-je? dans quel étage je gère? Suis-je tout seul dans l'univers? Tenir un blog sur Murat, ça vous fait vous poser des questions... d'autant plus quand on se sent vraiment tout seul par moment, que le seul indicateur qui te reste est l'affluence des visiteurs et qu'elle redescend à 80 certains jours.  Leliendéfait n'est plus mise à jour, Didier se repose, le forum a été mise à mort, et j'ai perdu mon acolyte, le seul en France et dans le monde, qui pouvait faire des heures de bus pour aller consulter une archive...  La sphère muratienne semble par ailleurs bien éteinte. Qui s'est amusé à décrypter en détail "Travaux sur la n89"? J'imagine Murat qui s'est sans doute amusé dans ses textes abscons (comme ses multiples pistes musicales)  à faire des références... et on s'y est peu intéressé. Murat est même obligé parfois à nous dévoiler lui-même des secrets: Matthieu avait saisi la perche une fois (Freud dans toboggan).

Enfin, on a perdu notre phare dans la nuit: notre Koloko...  La rencontre, les retrouvailles, le moment privilégié... Et le mois de juin n'est plus le même.

Pour y penser, pour penser à Matthieu Guillaumond, voici le texte que Flo, une des fidèles commentatrices du blog, m'a fait passer :   Non, les muratiens vivent encore, on les retrouvera cet automne....

 

 

EN SOUVENIR DE J … non, de M.

La communauté muratienne s'enorgueillit de 27.389 membres ( selon les membres inscrits sur sa page facebook mais en comptant ceux qui refusent la modernité et le numérique, on peut royalement aller jusqu'à arrondir le chiffre à 29.599 membres )

Parmi ces membres, il convient de distinguer les membres actifs des passifs.

Et là, il devient difficile de faire le décompte... en effet, peut-on raisonnablement tailler à la serpe dans un 50/50 ? ce serait trop facile et bien feignant .

Si l'on n'arrive pas à les quantifier, peut-on néanmoins dire quelle en est la part la plus importante ?
Difficile, là aussi, car à force de remarquer ceux qui se manifestent à tout bout de champ et monopolisent la parole, on pourrait croire qu'ils sont nombreux à l'intérieur d'une même personne.
Matthieu était précis et je compte lui rendre hommage. Tâchons d'être un peu sérieux.

Je dirais donc que sur les 29.599 membres escomptés,  28.301 sont passifs et 1298 actifs voire très actifs (je compte dans ce chiffre les hyper-actifs c'est-à-dire les administrateurs des groupes facebook par exemple).

Il va m'être difficile de sonder les passifs (encore que l'imagination doublée d'un exercice de style pourraient donner quelque chose d’intéressant), en revanche, je vais tenter de faire un portrait de ceux qui se manifestent  de temps à autre voire tout le temps.

Chez les muratiens de tout bord, la première des qualités est la FIDELITE. Un muratien est par essence  fidèle et constant. (le chiffre des aficionados est le même , à peu de choses près, depuis 30 ans...)  

Ceci étant posé, chez les muratiens actifs, ce que l'on peut observer de leur mode de vie est qu'ils sont en longue hibernation pendant 11 mois de l'année (ceux qui précèdent la sortie d'un album) et qu'ils sortent de leur tanière en général en automne, date de sortie du nouvel opus.
*Tout l'inverse des ours et des marmottes en somme.

Il arrive aux muratiens actifs d'être au-dessus de la croûte terrestre lorsqu'il y a des tournées (de leur idole). Ils se réveillent donc par grappes successives, selon leur terrier d'habitation, s'envoyant des petits mails pour se regrouper (« tu y vas ? Non pas là, je peux pas, faut que je fasse garder mes gosses mais une autre fois ») ils se bisent lorsqu'ils se retrouvent et s'échangent des bières (si,si) . Il y a même des muratiens qui n'habitent pas la Gaule et prennent l'avion à réaction pour passer la frontière (ou un train bleu, voire la voiture du chanteur) pour venir le voir par tous les temps. Mais ceci est une autre histoire.

En dehors des tournées, le muratien dort sous un tas de feuilles mortes et mange ses noisettes et glands glanés pour l'hiver. MAIS ! Quand arrive la sortie de l'ALBUM annuel, c'est la fête au village avec son lot de joyeux et de grincheux qui s'écharpent à coups de canne tel Agecanonix et Ordralfabetrix*. Et c'est toujours le barde qui finit en haut de son arbre, bâillonné pour la soirée...
*Il est pas frais mon poisson ?

Ce village d'irréductibles muratiens est incorrigible ! C'est toujours la même rengaine.Les veines se gonflent, les gorges rougissent, les noms d'oiseaux fleurissent et depuis que la Gaule est Gaule , personne n'arrive à se mettre d'accord.

Tous les caractères sont représentés dans ce village, (de moyenne d'âge assez élevée, la natalité étant en baisse parmi les belligérants, on peut raisonnablement dire que la moyenne d'âge muratienne tourne autour de 50 ans... et ça ne s'arrange pas avec les années ! )
Les timides, les débonnaires, les enflammés, les inconditionnels, les fidèles coûte-que-coûte, les a-quoi-bonistes, les enragés, les exigeants, les intellectuels, les supérieurs, ceux qui lisent télérama, ceux qui lisent magic, ceux qui lisent les inrocks, ceux qui ne lisent rien et s'en foutent, ceux qui pensent qu'ils ont toujours raison et ceux qui se rangent derrière l'avis du dernier qui a parlé.

Il y a ceux qui pensent que Jean Louis ne chante que pour eux, ceux qui ont connu sa première brassière, ceux qui emmènent leurs gosses au concert, ceux qui ont des cheveux longs et une barbe aussi longue et un tee-shirt toujours noir , ceux qui viennent de loin,ceux qui passent la frontière, ceux qui descendent de leur montagne, ceux qui se réunissent autour d'une bière ( la bière de la Coopé 2 euros , gobelet consigné ) ceux qui sont tellement timides qu'on n'a jamais entendu le son de leur voix, ceux qui la ramènent tout le temps, celles qui cachent des bières dans leurs collants , celles et ceux qui sont secrètement amoureux de Stéphane Raynaud ou de Jocelyne qui vend les disques à la sortie.

Il y a ceux qui sont dans la queue depuis le matin et squattent le premier rang dès l'ouverture des portes, connaissent les paroles des chansons par cœur et les chantent à tue-tête tandis que d'autres leur crient « chuuuut !!! » ceux qui n'osent pas et donc se font marcher sur les pieds pour finalement atterrir au deuxième étage de la Coopé ( ils ont raison, finalement on y voit mieux la scène )  car ils ont laissé tout le monde passer devant eux.

Il y a ceux qui , dédaigneux, sortent à pas lents du concert, la lippe désabusée en disant « c'était de la merde, il ne nous a même pas salués à la fin ou... il n'a pas chanté ma chanson... ou son final était à chier «  ceux qui comme des fourmis sont surexcités et écarquillent les yeux tout en s'ébaubissant rétrospectivement, ceux qui guettent subrepticement la porte des loges ( des fois qu'elle s'ouvre ) , ceux qui s'y introduisent alors qu'ils ne sont pas invités et y dégustent un gâteau au citron fait par les blanches mains de Laure B., ceux qui fument sur le parvis et ceux qui aident Stéphane Raynaud à ranger sa batterie dans son coffre de voiture tout en taillant la bavette avec lui.
Les petits Bergheaud filent entre les jambes des participants et cela ressemble à une drôle de pagaille.

Quelquefois, un vigile interpelle quelque contrevenant à l'interdiction d'emporter de la boisson à l'intérieur de la salle … et la Suisse n'est plus neutre.

Il y a la confrérie des chapeaux de paille qui a décidé un jour de couvrir leur chef de ce chapeau campagnard sous prétexte que leur idole en arborait un sur un disque qui parlait de jeux pour les mômes ...On n'est pas sérieux quand on a 50 ans .

Il y a la confrérie des saucissoneux, fromage puant et vin rouge ou bière du pays qui ne conçoivent pas un concert de Murat sans se remplir la panse. * comment, il n'y a plus de sanglier ?

Il y a les gratouilleux qui apportent leur guitare et s'essayent à imiter le maître tandis qu'une chanteuse roucoule en imitant la belle Morgane.

Il y a les prévoyants qui se munissent de deux smartphones ou d'une batterie de secours pour pouvoir filmer les moments importants du concert.

Il y a les pressés qui sont arrivés le soir par le train de 17h05 et repartent le lendemain par le train de 08h03. Il y  a les détendus qui sont là pour 3 jours et dont les sardines dépassent du sac à dos ainsi que le réchaud Butagaz (On les reconnaît à leur short et leur pataugas mais à Orcival, même en été, ça caille le matin).

 Alors, me direz-vous, y a-t-il une hiérarchie dans cette communauté muratienne, hibernante et transhumante ?


Eh bien oui, comme dans le village gaulois avec son chef Abraracourcix et sa femme Bonnemine.
Il y a ceux qui sont les plus anciens qui sont au sommet de cette hiérarchie , on les appelle de ce nom bizarre de DOLOS ( on ne vous en dira pas plus, vous n'aviez qu'à être là et non, ça n'a rien à voir avec Doliprane ). Ce sont les plus anciens, ils ne sortent du bois qu'une fois l'an et ce sont comme les gardiens du Temple. Parmi eux, il y a les adeptes du Grand Véhicule et ceux du petit Véhicule. Pas simple. Ils se partagent le temple sacré le temps d'une offrande mais s'ignorent superbement.

Après les DOLOS, il y a les KOLOKOS , nom encore plus étrange s'il est possible (non, on ne vous expliquera pas de quoi il s'agit, il ne fallait pas rater la saison 4 de Kaamelott, un indice= cela a un rapport avec Clermauvergne , chuuuut ,ceux qui savent !...).

 

Il y a ceux qui ont des talents d'organisateurs ( «  en rang, deux par deux, qui sera là au Koloko 2012 ? oui dans la Grande Salle, prix des places 21 euros, y en a encore à la Fnac, on réserve un gîte à Orcival ? Combien de nuitées , qui sera véhiculé, qui s'occupe de réserver ?? tu peux ? OK. Qui sera là le dimanche matin pour aller acheter du fromage au marché d'Orcival ??? ») et ceux qui arrivent les mains dans les poches ( quand ils en ont ) ou les doigts dans le nez, «  ah y a plus de place ? On peut en acheter une au marché noir ? Comment ça Orcival c'est à 10 km dans la montagne ? ».

Il y a ceux qui se scrutent ( «  il m'a regardé, il m'a parlé, il m'a souri « il » étant le chanteur bien sûr ) et ceux qui attendent patiemment, leur disque à la main une dédicace du maître et qui osent lui faire une petite bise sur la joue et lui disant « jadooorecequevousfaites » il y a ceux qui vont faire une after dans la nuit de la place du 1er mai et se cachent tellement bien dans les buissons qu'ils en arrivent à se perdre et à ne plus retrouver le chemin de leur hôtel.

Mais tous les barbares, avec leurs particularités et leurs défauts, tous se rassemblaient et aimeraient bien se rassembler encore pour le festin final auprès de l'apôtre aux cheveux longs et à la barbe rousse.
Voilà...
Matthieu, ce texte est pour toi et on t'aime !!...


Florence Lohéac


Toute ressemblance avec des personnages existant ou ayant existé serait fortuite et involontaire
on n'est pas sérieux quand on a 50 ans
qui aime bien châtie bien
reviens et tout est effacé.

 

Merci Florence!

Un mois de juin sans Koloko: Pensées aux muratiens.
Un mois de juin sans Koloko: Pensées aux muratiens.
Un mois de juin sans Koloko: Pensées aux muratiens.
Un mois de juin sans Koloko: Pensées aux muratiens.
Un mois de juin sans Koloko: Pensées aux muratiens.

LE LIEN EN PLUS

Matthieu dans ses oeuvre:

 Notre PEREC à nous se souvenait des KOLOKOS: http://www.surjeanlouismurat.com/article-hommage-aux-kolokos-happy-birthay-to-you-107472980.html

Et sur la descriptions des muratiens, on s'était bien amusé:  http://www.surjeanlouismurat.com/article-muratiens-ou-qu-est-ce-106222509.html

Malgré la bonne diffusion de l'article consacré à Matthieu Guillaumond, je reste déçu que quelques témoignages supplémentaires ne soient pas parvenues à sa famille. Je n'ai pas retrouvé par exemple Catherine Escourolles, ancienne du cinéma LE RIO, dont le licenciement a conduit je pense Matthieu à ne plus remettre le pied dans un cinéma... J'aurais souhaité et pensé que la Montagne consacre un article à Matthieu, mais ça n'a pas été le cas. On maintient donc encore et toujours une bougie allumée... en attendant peut-être un événement à Clermont qui permette de  lui rendre hommage. 

PSDT ( et on ne te confond pas avec St-Pierre là haut?, tu peux podcaster "répliques" ?...)

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #vieilleries -archives-disques

Repost0

Publié le 10 Juin 2018

Généralement les mois de juin sont les mois de festivités, et particulièrement chez les muratiens... Cette année, le calendrier était vide... alors pourquoi pas faire une petite fête d'anniversaire improvisée : j'ai enfin entamé ma petite vidéo comme je l'avais faite en 2011 pour les 30 ans de "Suicidez-vous le peuple est mort", et cette fois, c'est donc pour l'année du single "Le garçon qui maudit les filles", l'année du succès... avant qu'un vrai album ne voit le jour. De plus, ça tombe très bien aujourd'hui parce que... je n'ai pas la date officielle de sortie de ces 44 tours (1987 et 1988)...

1981: pour rappel pour commencer

et voici pour 1988:

 

Et voici Murat dans Libération en février 88:

1988: 30 ans du "GARCON QUI MAUDIT LES FILLES"
1988: 30 ans du "GARCON QUI MAUDIT LES FILLES"

une chronique d'Arnaud Viviant dans le monde de la musique en avril, et une mini chronique dans Compact (c'est tout ce qu'on a dans la revue de presse de notre archiviste en chef Mr FIVE'r pour 1988... j'imagine qu'il y a quelques manques)

1988: 30 ans du "GARCON QUI MAUDIT LES FILLES"
1988: 30 ans du "GARCON QUI MAUDIT LES FILLES"

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #vieilleries -archives-disques

Repost0

Publié le 10 Juin 2018

AULAS, on va tout casser chez toi! Aulas, on va tout casser chez toi!!  (non, je rigole, je suis plutôt  supporter de l'ol)

 

Petite vérification ce matin, pour la nouvelle date du jour (je commence là à me demander si Caramba ne s'arrange pas pour feuilletonner à nous sortir les dates une par une...  mais enfin, moi, ça m'arrange...). Et grosse surprise... car c'est le premier concert in my land qui est annoncée.. Et ça sera à Décines, oui, là, on jouait l'équipe de France de foot hier soir... Direction le Parc OL... mais il faudra passer devant... et poursuivre pour aller au TOBOGGAN (mince, il le book avec 4 albums de retard, ça aurait fait quelques titres sympas: Murat glisse Toboggan au Toboggan, Toboggan s'invite au Toboggan, Trop beau Toboggan au Toboggan, l'écrin du Toboggan... enfin, des trucs aussi drôle les uns que les autres...mais hélas, sur cette tournée, c'est à Corbas, autre commune de la banlieue Est où il s'était rendu).

Donc : DECINES-CHARPIEU, vendredi 23 NOVEMBRE, Toboggan.

http://www.concertandco.com/artiste/jean-louis-murat/billet-concert-19834.htm 

(Pierre Andrieu, qui a interviewé plusieurs fois Murat,  m'a demandé de privilégier son site pour la billetterie, et je le fais bien volontiers pour soutenir l'artisanat auvergnat, puisqu'il est basé à Clermont. Merci de faire de même pour lui.  - cette publicité est offerte gratuitement par -www.surjeanlouismurat.com - manger 5 concerts et légumes par an min.).

 

Ps: le site officiel affiche  enfin quelques dates de concert, mais la liste n'est pas tout-à-fait jour.

Le Toboggan affiche avant Murat quelques jolis noms: Pomme, Pierre Lapointe, Loyd Cole, Général Elektrics ou encore Barbara Carlotti la même semaine que Murat... tiens, j'irai peut-être aussi. Belin viendra lui plus tard. Mais qu'est-ce qui fait que cette salle semble ainsi se spécialiser ?

Et bien, je le découvre: c'est Victor Bosch qui programme cette salle depuis 2017 (article du progrès: « Cette partie de l’Est lyonnais a beaucoup changé. L’arrivée du tram, le stade de l’OL ont amené une population assez jeune et familiale, qui a envie d’aller au spectacle sans pour autant aller jusqu’au centre de Lyon », argumente Victor Bosch). L'ancien musicien, producteur de "Notre-Dame de Paris", qui a programmé Murat au Transbordeur (au départ: album live "Murat live"), puis au Radiant plus récemment, lui propose donc maintenant le Toboggan).  J'attends donc qu'il l'invite au Festival Les Belles journées à Bourgoin en 2019 (il en a récupéré là encore la programmation). 

LA JAUGE offre pas mal de disponibilités:
652 places assises / 880 assis-debout / 1440 tout debout

 

LE LIEN EN PLUS

Je viens de trouver  un objet "à paraître" le 17/08/18 et en précommande:  la seule indication "Babel Morituri"... CD 2 volumes à 11 euros.  Je présume qu'il y a une erreur et qu'il s'agit des  rééditions PIAS manquantes*... Universal avait déjà publié des coffrets 2 Cd de Murat, mais je ne pense pas que cela soit le cas (Babel étant déjà en 2 cd).  Ça pourrait être aussi le nouvel album? Sans doute pas à ce prix là!

* Pour rappel:  Pias vient de rééditer la majeure partie de la disco de Murat à petit prix!  Une offre deux CD à  10 euros est actuellement en cours sur le site de la fnac. Inutile de se priver pour renouveler ses vieux CD ou compléter sa collection.

-----------------

PS: N'hésitez pas à vous abonner au blog pour ne rien rater: case newsletter ou sur facebook en activant des notifications sur ma page: Sur-JeanLouismurat, blog non officiel

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Travaux sur la N89

Repost0

Publié le 7 Juin 2018

 

Je n'ai  pas le temps de vous gratifier de jeux de mots... OOOHHH, salauds! Je vous ai entendu crier Youpi!! Bon, je me dépêche (de Toulouse)....

NOUVELLE DATE - stop- TOULOUSE- Salle NOUGARO (oh, ctoriginalcommenom)- stop-17 Novembre-Five'r sans doute-biencontent-stop

On nous indique une belle saison 2017-2018 pour cette salle, et une nouvelle année tout aussi riche l'année prochaine:

http://www.ladepeche.fr/article/2018/06/07/2813039-la-belle-sante-de-la-salle-nougaro.html

Il était déjà passé en 2006  dans cette salle.

 

LE LIEN EN PLUS

A La dynamo, en 2011:

http://www.versatile-mag.fr/2011/11/jean-louis-murat-a-toulouse-la-dynamo/

Son dernier concert dans cette ville date de 2013 (connexion live)

 

Ooh, TOULOUSE, TOOUU-LOUUSE!

LE LIEN EN PLUS VITE VITE VITE

 

La première date annoncée de cette tournée était Montpellier.
Petite article sur la programmation du festival centré sur la guitare (ce qui est donc une info en soi):

https://e-metropolitain.fr/2018/06/04/internationales-de-guitare-devoilent-programme/

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Travaux sur la N89

Repost0

Publié le 6 Juin 2018

 

Et qu'est-ce que vous voulez bien que je vous raconte sur une date à Strasbourg, à la LAITERIE, la salle de musique actuelle de la ville?  Rien d'étonnant et de détonnant dans le paysage... Cela sera son 5e concert dans cette salle (vous voyez bien qu'il est un guest qu'on réinvite avec plaisir!!) et sa dernière visite était, elle,  bien particulière: dans le cadre de "Strasbourg mon amour", dans une église de la ville (compte-rendu).

Alors, amis de l'est, vous qui vivez dans le froid et le gris, avec votre drôle d'accent, et bien, pour changer du marché folklorique et du vin chaud qui ouvrira ses portes,  réservez votre place pour le 8 décembre :

https://www.artefact.org/la-laiterie/programmation/jean-louis-murat-1ere-partie

ET félicitations à la salle pour son petit texte (ça prête à discussion mais ils ont fait un effort):

Laissant à d'autres le douloureux plaisir de voyager en solitaire, Jean Louis Murat aime les rencontres ; avec Mylène, le temps d'un flirt quasi yéyé avec la grande variété ; avec Calexico, émanation mariachiste de Giant Sand ou encore avec Madame Deshoulières pour une partition à quatre mains tendues à travers quelques siècles. Du Col de la Croix Morand aux grands espaces américains, en passant par les salons poétiques du XVIIIe siècle et quelques datcha intimes, il n'y a donc que quelques tours de roue, dévalés par notre homme qui emmène grand braquet, sans peiner, jusqu'à notre Laiterie pour présenter son nouvel album « Travaux sur la N89 ».

Mit seiner weichen Stimme und seinen poetischen Chansontexten ist der Franzose in seiner Heimat seit Jahrzehnten eine feste Größe in der Musikszene. Ob Pop, Rock oder Chanson, der Sänger und Komponist ist in allen Stilrichtungen ein vorzüglicher Meister.

LE LIEN EN PLUS

Lors de son dernier passage à la LAITERIE,  c'est PIERRE SCHOTT, le bassiste de Raft, groupe rangé des bateaux gonflables depuis un bail, et désormais musicien régulièrement adoubé par BAYON notamment, qui nous avait rédigé un compte-rendu (à lire ici)!  Il vient tout juste de publier son dernier album... mais est en train de parcourir les alpes en vélo (en son temps, il avait défié Murat de le suivre).

Ce dernier album "el gringo" est très réussi, avec toujours un son de guitare très particulier dans des rythmiques à la fois blues et reggae, avec des thèmes qui enchanteront les fans de Manset et de Murat.  

Album à commander sur:

http://www.pierreschott.com/

https://www.deezer.com/fr/artist/58610

la chronique de Baptiste Vignol: http://delafenetredenhaut.blogspot.com/2018/05/pierre-schott-lechappe.html

 

LA VIDEO EN PLUS

On a failli avoir droit à un album "live à Schiltigheim" (tout près de Strasbourg) en 2005...  Quelques titres nous sont parvenus:

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Travaux sur la N89

Repost0

Publié le 5 Juin 2018

 

Après quelques dates dans des grandes villes, voici une première date plus "exotique" : EYSINES en Gironde. MERCREDI 10 OCTOBRE.  Cité perdue peuplée d'indigènes moustachus? Non, c'est en banlieue de Bordeaux.... disons plutôt : dans la Métropole (pour faire plaisir à Virginie qui aimait trop Paul comme on le sait) bordelaise. C'est donc des gentry habitants que Murat va rencontrer après avoir pris la N89 dégagée j'espère.

Notre petit prince a donc peut-être dit "Eysines moi un concert,  et c'est non pour retourner à Cenon" (date en banlieue bordelaise en 2013).  Il n'est pas retourné à Bordeaux même depuis 2006 (la zone est déclarée muratsinistrée...on voit bien le vide sur la carte des concerts du liendéfait).

La ville semble en tout cas culturellement bien avancée, avec une salle de concert, un théâtre et des activités culturelles dans le parc de la ville... et oui, on ne eysines pas sur les moyens là-bas!  22 000 habitants tout de même... La ville est bordée par La JALLE qui a créé une plaine propice à la culture maraichère, MAIS TOUT DE SUITE, sous vos applaudissements, accueillons nos candidats du jour au jeu des 1000 euros!  ... oups.... Je me suis pris par Lucien Jeunesse (car France Inter, ce n'est pas seulement Murat en playlist, c'est aussi le jeu des 1000 euros).  

Allez, on choisit le superbanco en réservant sa place :

http://www.concertandco.com/artiste/jean-louis-murat/billet-concert-19834.htm

Sur ce, ai-je dis suffisamment de conneries ou dois-je faire un jeu de mot avec le Juppé terrien et Murat Jupitérien ? Non, ce n'est pas nécessaire, je vous l'accorde.... désolé... mais le retour de Murat, ça me met en joie... J'attends tout de même les dates en Rhône-alpes avec fébrilité... et avec L. Wauquiez les dates en Auvergne-Rhône-Alpes.

 

Pour être sérieux, grosse jauge en tout cas pour Murat (mais l'agglo fait plus d'1.2 millions d'habitants):

La salle du Vigean

La salle de concert d’Eysines. Construite en 1980, elle a acquis depuis une solide réputation de salle de spectacles à la programmation de qualité.

Rénovée en 2004, sa capacité d’accueil est de 800 places assises (fauteuils sur gradins rétractables) et de 1499 places debout.

L’acoustique a été minutieusement étudiée de manière à garantir le meilleur rendu sonore lors des concerts tout en préservant le voisinage. Une boucle magnétique a été installée afin de pouvoir accueillir les personnes malentendantes.

Par ailleurs, son utilisation reste polyvalente. La salle du Vigean accompagne la vie associative, les pratiques des jeunes ainsi que les pratiques artistiques amateurs et ce en lien avec les écoles, les jeunes, les associations, les travailleurs sociaux et les habitants.
Elle continuera d’accueillir des activités de loisirs, des réunions, des galas et des repas organisés par les associations.

Plusieurs nouveaux équipements rendent la salle plus conviviale :
– espace bar
– cuisine équipée pour traiteurs
– salle de répétition de musique amplifiée.

 

Contact

Rue Gilbert Caudéran
33320 Eysines

http://www.eysines-culture.fr/

 

L'ARCHIVE EN PLUS

Ouest-France 2006 (service minimum du journaliste)

 

et voilà une date exotique et gironde:   EYSINES

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Travaux sur la N89

Repost0

Publié le 3 Juin 2018

 

Murat chantera-t-il "j'ai fréquenté la beauté" à Dijon le 9/11/2018?  Ca serait trop tordant, trop so funny, parce qu'il dit jonc dans cette chanson...  Il pourrait aussi chanter aussi "cassis mouillé" aux Dijonnais... ou "marie-jeanne" puisqu'il y est question de "déjeuner"...  ou alors "le chat noir" revisité:  "le chanoine Kir dans le vin, teinte le vin, teinte le vin, le chanoine kir dans le vin, passe vie en teintant le vin"... et non, Murat n'a jamais chanté le mot "moutarde"... Il a assaisonné souvent ses aliments célestes par contre avec du sel et  du miel. 

Est-ce que j'ai suffisamment dit de grosses conneries pour m'en arrêter là? Allez, encore une petite:

Allez, Bourguignons, lève ton derrière et surtout ne te renverse pas, et porte-toi sur internet, t'payer ta place, et sois des nôtres!, prends ta place comme les autres!"

http://www.concertandco.com/artiste/jean-louis-murat/dijon/billet-concert-19834-13.htm

6e concert à DIJON (source Leliendéfait, merci)

au théâtre des Feuillants.... 6e jauge de la ville (490 places numérotés en  gradin à forte pente)

Allez, sur ce,  on termine en se demandant si Murat aura droit à son ban bourguignon. La tradition semble bien active:

et on termine par Thomas VDB (qui a un lien fort avec la Coopé") qui nous parle du ban:

Allez, pour rappel:

Concerts à Paris en décembre (café de la danse), Dijon en novembre, et en octobre, Nantes, Montpellier et Bruxelles et Liège.  Ca se complète, ça se complète... (vous retrouverez les dates précises par vous-même sur le blog). Chettoupourlemoment.

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Travaux sur la N89

Repost0

Publié le 30 Mai 2018

La catégorie d'articles "Bibliographie" est consacrée aux œuvres imprimées dans lesquelles il est question de Jean-Louis Murat.

L'inter-ViOUS ET MURAT- n°21 était consacrée à Franck Courtès, photographe devenu écrivain. Il publiait un roman ("sur une partie majeure de la France") avec comme épigraphe un vers de Murat. Il s'avérait qu'il avait à deux occasions photographié le chanteur et  il m'a fait l'honneur d'autoriser la publication de photos inédites. Il nous a conté cette rencontre à Orcival, puis à New-York.

Aujourd'hui, il publie son nouveau livre toujours chez Lattès, et toujours en s'appuyant sur une matière autobiographique. Cette fois-ci, de front... pour évoquer ses souvenirs et tourments de photographe. Côté souvenirs: beaucoup d'anecdotes autour de rencontres (sans que cela tourne aux Who's who et à l'anecdote druckerienne)... dont celle avec Jean-Louis Murat: Les quelques pages ne nous apprennent pas beaucoup  plus que notre interview,  mais on y retrouve joliment transmis l'amitié que Franck porte au chanteur. Vous pourrez lire tout ceci en fin d'article.

Franck nous parle aussi, entre autres, d'acteurs (Tom Hanks...), de politiques (Bérégovoy...), d'écrivains, de musiciens,  de footballeurs (Evra qui ne connaissait pas du tout la ville de Manchester pour laquelle il jouait...),   des bonnes surprises... comme des mauvaises (parfois d'un stricte point de vue des 5 minutes que le modèle accorde au photographe, mais "Je n'avais pas toujours besoin de lire un auteur pour savoir de lui l'essentiel. Souvent l'oeuvre venait après coup confirmer  ce que j'avais ressenti dans l'instant partagé de la prise de vue") .

Toutefois, le cœur du livre est bien les tourments du photographe. La faute aux photos? Non.

Des tourments tels qu'il pensera souffrir de dépression. Face au travail de commandes, face aux portraiturés qui ne jouent pas le jeu, le joue trop,  face à la peur du manque d'inspiration, quand l'autre s'en fout ou  quand l'autre l'impressionne trop (Raymond Depardon...), et encore, face à l'effet médiatique (le festival de Cannes, ou l'écart entre l'impression laissée par un homme et les réactions que sa représentation en photo va susciter - Michel Polnareff ou Jean-Marie Le Pen),    face à l'émergence du numérique, de la dictature de la photo  et sa désacralisation dans le même temps,   face à la crainte du procès qui empêche de poser son regard où on le souhaite, face aux impayés, ou enfin,  l'impression de survoler les gens, les pays "voyagés" sans les appréhender vraiment: "je me rendis compte que j'étais allé  en Amérique du Nord 24 fois en deux ans. Pourtant, je ne connaissais rien aux Etats-Unis".   La dernière "humiliation", ça sera Joey Starr et un footballeur... Franck comprend qu'il est arrivé "au bout de sa passion" "comme on se rend compte [...] qu'on ne vieillira pas avec la femme de sa vie". Prises de vue, prises de tête. Débrancher la prise pour libérer non pas seulement l'esthète, mais  son être dans son ensemble.  

 

 

Bibliographie 3  :  Franck Courtès, "La dernière photo",   du petit oiseau à la plûme
Bibliographie 3  :  Franck Courtès, "La dernière photo",   du petit oiseau à la plûme

   Bien sûr, il est aussi question de "l’état de grâce" quand tout se combine, et Franck arrive à lever un peu le mystère sur ce qui fait  la magie d'une photo, en nous parlant de ces moments de complicité qu'il arrivait à instaurer parfois, ou en évoquant la technique autour de l'argentique (comme une contrainte libératoire, "l'envie d'en découdre", notamment avec la lumière: "le réglage de mon appareil était la première chose à laquelle je pensais en me levant" [en se précipitant à la fenêtre]). Ainsi, le lecteur aura bien souvent envie de stopper la lecture pour aller à la recherche des prises de vue qui viennent d'être évoquées.

                             

                                                                                  by Renaud Monfourny                                                                                                                        

C'est souvent sérieux, mais jamais prétentieux : Franck  y reste toujours d'une grande modestie: quand il parle de ses travaux plus personnels (refusés à l'édition), ou quand il évoque, par exemple, son inculture : "je fus bientôt à même de tenir une conversation avec Philippe Sollers et Régis Debray, à condition qu'on parlât avec le premier des vins de Bordeaux et avec le second du mauvais état de ses rideaux de salle à manger", ou nous compte  quelques bévues (sa rencontre avec P. Barouh dont il ne connait pas le nom: "des succès? Alors peut-être que si vous m'en chantonnez un, je le reconnaitrai"). 

Les dernières pages du livre sont consacrées à sa conversion vers l'écriture, qui est marquée par "l'ancrage", le "rester"(notamment dans un cadre villageois", et l'introspection... L'occasion bien-sûr de comprendre une nouvelle fois ce qui le relie à l’œuvre de Jean-Louis Murat. 

"La dernière photo"  est l’œuvre la moins romanesque de Franck, mais est passionnante pour les amateurs de photo, et pour ceux qui ont aimé ses précédents livres, qui dévoilaient d'autres aspects de sa vie. Franck en a-t-il fini avec cette matière très personnelle dont il s'est inspiré pour l'instant? On comprend en tout cas à la lecture que ce livre était forcement un préalable avant de pouvoir totalement passer à autre chose.

 

- A relire (avec d'autres photos, copyright Franck Courtès/agence Vu'):

http://www.surjeanlouismurat.com/2016/06/inter-vious-et-murat-n-21-franck-courtes.html

http://www.surjeanlouismurat.com/2016/06/franck-courtes-photographe-suite.html

- Pour en savoir plus:

x  Sur France 5, dans la GRANDE LIBRAIRIE, de Busnel (31/05)

x L'ami Pierre KRAUSE:  https://www.babelio.com/livres/Courtes-La-derniere-photo/1037661/critiques/1628442

xhttps://www.lettres-it-be.fr/2018/05/15/la-derni%C3%A8re-photo-de-franck-court%C3%A8s-jc-latt%C3%A8s-dans-l-objectif-d-une-passion-r%C3%A9volue/

x https://publikart.net/la-derniere-photo-ou-auto-portrait-de-franck-courtes-jc-lattes/

- Disponible encore quelques jours:  en vidéo  "un livre, un jour"

Et pour Hachette.fr:

 

- Le passage sur Murat sur Google books

et ci-dessous:

 

 

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #bibliographie

Repost0

Publié le 29 Mai 2018

 
PARUTION FACEBOOK du côté de CARAMBA Spectacles (eeh,  il garde le même tourneur plusieurs années de suite... comme quoi!)

Auteur, compositeur et interprète, Jean­‐Louis Murat est un artiste complet, brillant aussi bien par la subtilité de ses textes que par ses arrangements musicaux. Avec tenacité, il a su séduire un public toujours plus large et continuellement surpris par son univers.
L'Auvergnat reste fidèle à lui-même et continue d'expérimenter sans cesse de nouveaux styles (acoustique, électronique, classique, pop,…).
À découvrir ou re-découvrir sur scène : les 10 et 11 décembre au Café de la Danse, Paris.

 

9e et 10e rendez-vous au Café de la Danse donc, après deux dates pour Mustango et 6 pour A bird on a poire (2004). 61e et 62e concerts parisiens...

un autre petit souvenir du café de la danse:

Et le concert parisien sera...

Voir les commentaires

Rédigé par Pierrot

Publié dans #Travaux sur la N89

Repost0